STARRING FRANCISCO LACHOWSKI BY TUMBLR.

Keats-Ray, Brisbane
(au choix et très fortement négociable)

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ÂGE : Vingt-deux ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Au choix, mais il a presque toujours vécu dans les Hamptons. ★ ORIGINES : Libre à vous de lui en coller à la peau, mais par pitié, pas mangeur de riz (physiquement impossible). ★ NATIONALITÉ : Américaine. ★ STATUT CIVIL : Un statut civil n'existe pas pour sa situation, il est particulièrement volage, et sur tous les fronts. ★ EMPLOI : Il se contente de se la couler douce dans l'entreprise de son père, il est rentier et fier de l'être. Les études, c'est.. secondaire pour lui, il en sort tout juste, mais pas vraiment haut la main. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Têtu, comique, colérique, exigeant, volage, accessoirement attentionné, profiteur, charmeur, franc, soucieux, je m'en foutiste, sociable, extraverti et j'en passe. ★ GROUPE : Au choix, à vrai dire, à votre guise.


△ On ne peut pas dire que sa famille connaisse la galère financière, c'est plutôt le contraire même.
△ Toutefois, il a eu la chance de naître dans une famille peu attachée aux traditions, et plus en phase avec le monde actuel.
△ Il est le petit dernier de la famille composée uniquement de garçon, alors forcément, on lui cède presque tout, surtout sa mère.
△ Sa famille est comment vous dire, tout pour lui, c'est son ilot de refuge dans un monde de requin qu'il cotoie sans grand enthousiasme, sauf lorsqu'il s'agit de se montrer.
△ On peut voir un grand manque de présence féminine lors de son enfance aux vues de son comportement avec les femmes.
△ C'est un connard de première et il le sait pertinemment, il n'a aucun regret à traiter le demoiselles comme des reines, pour mieux les jeter après.
△ Il vit selon le principe Carpe Diem, mais on peut se demander s'il en a vraiment compris la signification réelle.
△ S'il vit de cette manière, c'est qu'il y a une raison bien cachée et trop douloureuse pour être dévoilée. (à vous de voir, mettez votre grain de sel, j'aime ça.)
△ Évidemment ces points sont négociables, mais il vaut mieux m'en parler avant, par MP. Je ne voudrais pas brider l'imagination.


~ we lie beneath the stars at night.

Pour vous faire un petit résumé, ils ne se connaissent pas depuis des lustres mais c'est tout comme. Au début, il y a à peu près une année, ils passaient leur temps à se faire la guerre, mais avec le temps, cela a fini par leur suffire alors ils sont passés à la vitesse supérieure. À force d'être cul et chemise, ils ont fini par tomber dans un petit jeu du chat et de la souris, sauf qu'il sait très bien qu'à partir du moment où il accepte, il va s'y perdre lui même. Il refuse de voir en Milly une potentielle relation stable. Pour lui il est hors de question de la toucher, c'est un fruit défendu qui le tente de plus en plus. Et de son côté, elle ne se gêne pas pour lui faire savoir qu'elle ne l'attendra pas éternellement.

Je veux que tu sois ma cavalière pour le mariage de mon frère. Elle ne savait si elle devait le prendre au sérieux. Il passait son temps au pieux avec une multitude de filles toutes aussi jolies les unes que les autres, qui afficheraient bien mieux qu'elle à son bras. Demande à une de tes conquêtes, il y en aura bien une qui sera ravie. Lui suggéra t-elle, esquissant un léger sourire, quasi gênée. Attends, je dois prendre ça comme un non? Il avait l'air étonnée et désarçonné face à la réponse de la demoiselle, qui ne savait pas quoi répondre. Tu sais, ton frère a peut-être envie de voir de nouvelles têtes. Répondit-elle, passant une main sur son épaule histoire de le calmer. Il t'adore et tu le sais très bien. Et puis toutes ces filles sont des idiotes, ennuyantes et des ivrognes en plus de cela. Tu me laisserais endurer ce genre de torture? S'il te plaît. Accompagne moi. Il la suppliait, tout son corps la suppliait. Ses yeux, sa voix, ses gestes et mimiques. Je..c'est pas ce que je voulais dire..non, bien sûr que non. On pouvait se voir dessiner sur son visage un léger sourire, empli de satisfaction, avant qu'il ne s'empresse de rajouter quelque chose. Je prends ça comme un oui. Encore merci, je te revaudrai ça. Il déposa un baiser sur son front avant de repartir aussi sec. Ce mec était un vrai coup de vent, une tornade. Il était instable, incontrôlable, exigeant, un peu contradictoire mais c'était ce mélange détonnant qui faisait tout son charme.

Face à un miroir qui ne reflétait que ce qu'il pouvait rester de la demoiselle après cette journée de mariage, qui s'apparentait plus à marathon, Milly peinait à détacher la boutonnière faite de fleurs blanches tissées autour de son maigre poignet. Ce bracelet, c'était celui que Keats lui avait donné le matin même pour le mariage de son père. C'est un bruit sourd sur la porte de la chambre qui leur était réservée sur le lieux des festivités qui la tira de ses pensée. Ce devait être Keats qui venait se coucher après avoir salué les derniers invités, ce qu'elle s'était épargnée. Le cliquetis grinçant de la porte se fit entendre, pour voir débarquer avec aplomb Keats dans le miroir. Depuis quelques temps Milly sentait qu'elle était plus vulnérable en sa présence qu'auparavant. Elle était sensible à ses moindres faits et gestes et cet instant eu le don de la mettre mal à l'aise. Plutôt fatiguée, elle ne fit aucun signe manifeste. Tu étais splendide. Elle se contenta de lui accorder un sourire et un simple Merci. Il commença à déboutonner sa chemise ce qui ne la laissa pas indifférente. D'habitude ce genre de situation n'était pas un problème, ils avaient l'habitude de dormir l'un chez l'autre, mais là, c'était vraiment bizarre, gênant, et insoutenable. Luttant avec sa robe pour ne pas paraître déstabilisée, il se plaça dans son dos pour prendre la relève, pour s'emparer de cette satanée fermeture qu'il défit délicatement, d'une lenteur exceptionnelle. Elle se sentait défaillir en même temps. Il était à deux doigt de l'enlacer, elle pouvait sentir son torse contre son dos, son souffle sur sa nuque. Finissant son geste, ll était à deux doigt de l'enlacer, elle pouvait sentir son torse contre son dos, son souffle sur sa nuque. Elle le sentait hésitant. Ce n'était pas son genre. Ce n'était sûrement pas la première robe qu'il dégrafait, ni la dernière la dernière lingerie qu'il verrait. Il ne pu s'empêcher de la l'embrasser une première fois, avant qu'elle ne renchérisse le geste en s’agrippant à son cou. C'était comme s'ils étaient entrain d'assouvir un désir incompressible. Finissant le travail inachevé de sa chemise, il la coupa net, lui attrapant le menton. C’est pas que je veux pas, crois moi, mais..je voudrais que te languisses encore un peu. Elle détourna le regard. Alors je vais te souhaiter une très bonne nuit. Il aime la faire tourner en rond, et elle déteste ça. Elle a de plus en plus l'impression d'être une sorte de divertissement, ce qui lui laisse un goût amer. Ouais..c'est ça, bonne nuit. Marmonna t-elle, énervée d'être laissée aussi froidement.