STARRING NICOLAS BEMBERG BY TUMBLR.

Zadig Thiméo, Hastings

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ÂGE : vingt-sept ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le 17 avril 1985 à Salerno (Italie). ★ ORIGINES : anglaise et italienne. ★ NATIONALITÉ : anglaise. ★ STATUT CIVIL : marié. ★ EMPLOI : ambulancier. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Drôle, charment, spontané, maladroit, intelligent, jaloux, possessif, bordélique, sociable, protecteur, attentionné, généreux, têtu, borné, lunatique. ★ GROUPE : gluttony.

Zadig porte des lunettes pour lire, c'est une chose qui lui va assez bien mais, qui, à l'approche de la trentaine lui a donné un coup de vieux. Devoir s'acheter des lunettes, alors qu'il n'en a jamais eu, lui a fait bizarre. Mais, il ne s'en plein pas, mieux voir n'est pas si mal. Et, imaginez le donc, assis dans un fauteuil moelleux sous une couette chaude, un livre dans les mains, un cliché qui se veut tout à fait succulent.

Lorsqu'il est nerveux, il tendance à se mordiller la lèvre, pour ne pas se perdre, comme lorsque l'on se pince après un mauvais rêve. Cette petite douleur lui met les pieds sur terre et lui permet de se contenir. De ne pas trop stressé ou, dans certain cas, de ne pas laisser aller sa peine. D'ailleurs, même si le plus souvent cela à lieux pour la nervosité, Zadig peut parfois se mordiller la lèvre sous de grosses émotions. A savoir que lorsqu'il fait l'amour, perdu dans les limbes du plaisir, il le fera.

C'est un homme égaré dans sa vie. Qui ne sait plus quelle route choisir. Il se trouve à un carrefour important de sa vie. Et, il n'arrive pas à savoir. La sureté ou l'inédit, l'amour ou la routine d'une vie monotone. Il est perdu, n'arrive plus à penser et se sent briser en tout point, son sourire se faisant moindre, son attention bien plus distante envers ses proches. Il doit choisir, mais, il doit également perdre des choses précieuses, à lui de trouver celles qui le sont le plus.

Il est un homme qui aime faire du sport. Est d'ailleurs il essaye d'en faire au moins une fois par semaine, en principe, il va nager. Cela lui permet de se vider l'esprit, oublier les destins tragiques qu'il a pu croiser dans son métier ou bien même, d'oublier ses propres problèmes. De plus après, il se sent bien mieux !

Zadig est jaloux ! Mais d'un jaloux extrême, ce qui est à lui est à lui et personne d'autre n'a le droit d'y toucher et ce, surtout en amour. Il n'en viendra pas à se battre, mais il est capable de faire une scène en prenant son air le plus polaire et parfois malheureusement, il est capable de pleurer, de hurler mais, pas devant tout le monde, non. En privée par contre oui. Cette jalousie peut venir à le bouffer de l'intérieur le rendant totalement perdu, méfiant, ne sachant plus comment réagir. Il faut savoir qu'après, il n'ira pas non plus au-devant de tout, des amis, tout le monde en possède mais, quelqu'un qui drague ouvertement son amant, non, ça, ça ne passe pas.

Derrière cette jalousie ce cache un homme d'une sensibilité assez étonnante. Dur comme fer dans son travail, jamais ébranlé, ou le cachant bien. Dans la vie de tous les jours ses sentiments se montrent aux yeux de tous, son regard parlant pour lui. Tristesse, amour tout vient à se voir dans son regard. Même quand il veut le cacher. Mais, cette sensibilité joue surtout lorsque ça va mal. La douleur, il n'a jamais su l'extérioriser et, il ne pourra pas se calmer avant d'avoir trouvé la solution, d'avoir trouvé comment arrêter de souffrir, ou, de moins souffrir.

~ bring me back down.



« Je n'aurais jamais cru à avoir un jour à tenir un journal. Enfin cela me parait tellement bizarre, à mon âge. Mais, l'envie est venue. Pas comme ça sur un coup de tête non, bien-sûr que non. C'est...quelque chose, de magnifique, qui a fini par me faire ouvrir ce vieux cahier ouvragé de cuir. Pour dire vrai, ce n'est pas vraiment une chose mais une personne. Elle est un peu sortie de nulle part, tombée comme un ange de Dieu sait-où ! Je ne m'y étais pas attendu, pas du tout. C'est arrivé petit à petit oui, mais malgré ça, je n'ai rien vu arriver. J'aurais pu le deviner mais, je ne l'ai pas fait et un jour...PAFF...j'ai compris et, j'ai souri comme jamais. Sans penser à rien, sans penser à Elle. Et, il a fini par tout remplacer dans ma tête, il l'a remplacée, Elle, mon épouse, il n'y avait plus que du désir pour lui, plus que du plaisir contre lui et, je n'avais pas honte, j'étais heureux. Oui, heureux. Et Elle, je ne l'aimais déjà plus avant. Notre relation était devenue depuis un moment une routine agréable agrémentée de rires d'enfant... Alors que lui était mon Amour ... »

Assis sur la cuvette des toilettes, Zadig fixait un point devant lui sans le voir, l'eau de la douche coulant à flot sans pour autant qu'il s'y glisse. Une douche, il en avait déjà prise une au travail, mais, il avait besoin de ce bruit au rassurant pouvoir de cacher d'autres sons. Le son de ses pleures par exemple. Car, en dehors de fixer un point, Zadig pleurait silencieusement, retenant difficilement les sanglots déchirants qui voulaient franchir ses lèvres. Il n'arrivait pas à comprendre. Tout se passait bien, huit mois de bonheur, huit mois si magnifiques qu'il lui arrivait même de penser les avoir rêvés. Mais ce n'était pas le cas. Oh, bien-sûr, ils s'étaient déjà engueulés ! Mais là...là il lui avait dit que c'était fini, comme ça, sans qu'il ne s'y attende. Était-ce de sa faute ? Parce que...parce qu'il avait peur ? Qu'il n'avait pas le courage de partir. De perdre sa maison, son chien, sa petite fille ? De perdre ce qu'il avait cru être le bonheur pendant longtemps jusqu'à lui ? Jaxhuem Warholls, son amant secret, cette relation qu'il n'arrivait pas à décrire, ce désir ardent, ce plaisir gourmand, cet amour brulant. Son amant qui venait de le quitter. Un sanglot passa ses lèvres. « merde, merde merde. » Ce n'était pas possible. Il ne pouvait pas être partie comme cela, n'est-ce pas ? Doucement, son regard glissa sur le téléphone High-tech qu'il tenait dans sa main, le numéro de son amant affiché sur l'écran. Il avait voulu l'appeler, mais, ne l'avait pas fait. Peut-être était-il juste en colère ? Peut-être allait-il revenir et se réconcilier ? Ou peut-être que... Toc toc. « Zadig mon amour, que fais-tu ? Ça fait une heure que tu es là-dedans, dépêche-toi, le diner est servi ! » Il sursauta et se redressa rapidement, croisant son reflet. Lamentable, complètement...déchiré, brisé. Il détourna bien vite les yeux, éteignant doucement la douche pour ensuite se passer de l'eau fraiche sur le visage, essayant de se redonner contenance. Il se redressa, se jetant un coup d'œil. Mieux. « J'arrive ma chérie, excuse-moi. » Mensonge, encore et encore. Il mentait sans cesse. Je travaille tard. Je vais chez des amis pour son anniversaire. Il avait dû toutes les faire, pour aller le rejoindre lui. Pour aller lui faire l'amour toute la nuit et... La réalité vint rapidement le frapper au visage. Et, l'abandonner. Était-il un salaud ? Se servait-il de lui ? Non, non ! Il l'aimait ! Il l'aimait à en crever ! Alors...alors qu'attendait-il pour partir et le rejoindre ? Il ouvrit doucement la porte, descendant au salon, passant devant le canapé et, doucement, il se pencha, ses lèvres venant frôler celles de sa femme. « Désolé, je n'ai pas vu le temps, j'ai eu une journée très dure. » Pourquoi n'y arrivait-il pas ? De quoi avait-il peur ?

~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : fly. ★ ÂGE : vingt et un ans. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : sur bazzart. ★ AVIS/COMMENTAIRES : il est beau, un contexte ou on peu faire plein de choses, c'est tip top. ★ AUTRES : non je crois pas.

Jaxhuem Warholls a écrit:

C'est parfait, tu peux valider !