Chéri Radiguet
❖ MESSAGES : 67 ❖ INSCRIPTION : 30/06/2012 ❖ CRÉDITS : AVATAR, JUNKTION JINK. SIGNATURE, TUMBLR. ❖ AVATAR : JEREMY DUFOUR. ❖ STATUT : CELIBATAIRE. ❖ EMPLOI : MUSICIEN. ❖ PSEUDO : VERDRIET, JUNIE.
❝ A DROP IN THE OCEAN ❞ ❖ ÂGE: VINGT-TROIS. ❖ LOGEMENT: ❖ CELLULAIRE:
| Sujet: (LIBRE) CLÉMENT CHABERNAUD Dim 1 Juil - 8:11 | |
| STARRING CLÉMENT CHABERNAUD BY TUMBLR.
François, Radiguet--------------------------------------------------- ÂGE : vingt-quatre. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt-cinq mai, londres. ★ ORIGINES : anglaises. ★ NATIONALITÉ : anglaise. ★ STATUT CIVIL : célibataire, salopard instable et volage. ★ EMPLOI : je le vois particulièrement dans le milieu de l'art, mais, si ça ne voulait pas, vous pouvez parfaitement changer. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : charismatique, manipulateur, particulièrement intelligent, séducteur, homme à femmes, particulièrement mauvais, joueur, fêtard, malsain, curieux, pervers, attractif, maniaque, (...). ★ GROUPE : au choix.
★ François est issu d'une riche famille anglaise. Et il joue particulièrement de ses origines anglaises, de sa britich touch et bien évidement de son accent - qui l'aide pas mal à séduire. François joue donc le parfait gentleman anglais, doux dandy, aux manières très étudiées. Mais ce n'est qu'une façade.
François est malsain. Il adore étudier les gens, leurs réactions et se jouer d'eux. Sans de réel but, juste pour se divertir. Et pour se montrer qu'il sera toujours supérieur à tout le monde. Et son frère n'échappe pas à son esprit manipulateur. ★
★ François boit, mais uniquement du bon alcool. François est désabusé et hautain. Mais il n'est pas un de ces clichés issus de la jeunesse dorée. Evidemment, ses parents ont toujours gagné plus qu'il ne leur fallait pour survivre correctement, mais les Radiguet sont une famille parfaite. Ils s'aiment tous. Ils se connaissent par coeur. De réels liens familiaux qui les unis.
François est l'homme - l'être, même - parfait aux yeux de son petit frère. Il le sait très bien, et il n'hésite pas à accentuer cette supériorité qu'il a sur lui. Et il en joue, quotidiennement, continuellement, de plus en plus. Mais c'est également le type parfait aux yeux d'à peu près tout le monde (notamment grâce à son incroyable capacité à se fondre dans n'importe quel environnement, à se lier avec n'importe qui, à faire semblant d'écouter les filles et leurs problèmes). François est aux yeux de tous le type sympa, fêtard, intelligent, classe, qui est ami avec la terre entière et avec qui on veut être ami. ★
★ François est arrivé à 14 ans aux Etats-Unis, avec sa famille. Comme son frère, il n'aime pas particulièrement l'Amérique et méprise les américains et leur culture dégoûtante. Mais il le cache mieux que son frère.
François et Chéri sont extrêmement proches. Ils ont toujours tout fait ensemble, se partage tout - jusqu'à deviner aisément les pensées de l'autre. A 21 ans, ils ont emménagé ensemble, dans un bel appartement, à New York. Récemment, Chéri est partit, sans rien dire, sans donner de raison, juste parti. ★
★ Même si Chéri est particulièrement cultivé, intelligent et qu'il a une mémoire exceptionnelle, François a toujours eut l'avantage sur lui. Il lui a toujours été supérieur, a toujours été son modèle - et il en joue tellement - et aura toujours l'avantage sur lui, pouvant lui faire faire des choses invraisemblables.
~ we lie beneath the stars at night.
- anecdotes concernant françois:
[size=26]❝ l'enfant sacré ❞ la jeunesse ▷ un jour, je serais grand, beau et intelligent. comme lui. un jour, je serais grand. je serais un homme comme ceux que l'on invite à prendre le thé. je serais beau et raffiné. Un jour, je serais aussi bien que lui, j'utiliserais les mêmes mots et quand on me regardera, on fera des « ouah, qu'il est doué ». ou peut-être qu'un jour, une voiture me renversera et me fera oublier que je suis tellement moins bien. Mais pour l'instant, je n'ai pas le temps. Je dois me contenter de le regarder pavaner, me coller, me fuir. Je dois me contenter de l'aimer, le détester, l'abîmer. Je dois me contenter de reposer mon stylo, refermer mon journal et me remettre au travail. Je dois regagner mon piano, parfaire mon morceau sans fondre en larmes. Je dois réussir. Alors je laisse mes doigts se balader sur les touches si froides, si délicates. Je laisse mes yeux se fermer et le plaisir prendre le dessus. Je me laisse me perdre dans la mélodies. Je me noie dans les vagues de plaisir dont regorgent chaque note. Et je perd pieds, le visage illuminé béatement par mon amour. Je perd pieds, bienheureux, jusqu'à ce qu'il entre à son tour dans le salon. Alors, Chéri, tu finis par t'en sortir ? Et la frustration reprend le dessus. Sa démarche si délicate, son charisme terrassant, son air trop taquin... tout en lui me déprime profondément. Je le regarde méchamment, mais il ne s'en rend jamais compte, l'abruti. Je le dévisage d'une manière si déplacée, mais il s'en fiche, il m'aime. Et à cette pensée, je déprime d'autant plus. Comment est-il capable de m'apprécier ? Moi, son petit frère débile, le moins que rien, celui qui n'arrive à rien, celui qui n'a pas d'amis, celui qui n'est pas parfait. Même son physique semble plus avantageux que le mien, même s'il est ma copie conforme à en écouter les autres. Je me contente de hausser vaguement les épaules, m'enfonçant dans la nullité, incapable de répondre franchement. Honteux, je replonge dans ma partition, incapable de me remettre à jouer, tétanisé par la jalousie. Qu'il parte, je vous en prie. Qu'il parte, qu'il parte. Et je sursaute en sentant sa main se poser sur mon épaule. Tu accepterais de jouer avec moi ? . Un simple regard et toutes mes résolutions s'effondrent. À quoi bon le détester quand je ne peux pas m'empêcher de l'adorer ? Comment réussir à me battre contre lui quand il ne soupçonne même pas ma méchanceté. De toute façon, je me rends compte que je suis déjà en train de lui sourire, de l'inviter à s'asseoir, de l'inviter à m'accompagner. ❝ les tribulations de Chéri ❞ l'adolescence ▷ il m'emmerde. ils m'emmerdent. je vous emmerde cordialement. Tournant en rond dans ma chambre, fermée à double tour, les mots et les pensées sortent de ma bouche sans que j'y prête réellement attention. Je n'en peux plus. Je sens la colère ronger chaque partie de mon corps, petit à petit, commençant à dévorer ce qui me reste de cœur. M'arrêtant violemment, je jette un regard noir de haine à cet immense miroir qui me fait face. Bordel de merde. Toi aussi je t'emmerde. Alors que je m'apprête à rejoindre mon bureau, un rire me glace le sang, me tétanise. Crispé, incapable de réagir, je reste légèrement voûté, arrêté dans mon geste. Ça va ? T'as terminé de pester contre le monde entier ? Tu peux te concentrer deux minutes et oublier tes soit disant problèmes existentiels ? Lentement, je me retourne vers mon lit dans lequel François s'était installé, sans que je le remarque. N'osant même pas l'approcher, je me contente de le toiser, oscillant entre une haine violente accompagnée d'une envie de l'étrangler et une curiosité intrigante. Comment est-ce qu'il a pu entrer dans ma chambre ? Pourquoi ne me laisse-t-il pas mon espace vital ? Mes sourcils froncés ont du l'amusé. Le voilà qui ose me sourire effrontément. Je reste sur place, boudeur, énervé, intrigué. Qu'est-ce que je m'en fou, au fond. Mais ce n'est pas vrai, et je n'ai toujours pas bougé lorsqu'il reprend la parole. J'ai un double. Je fronce de nouveau les sourcils, avant de m'inquiéter pour mes rides et de reprendre mon visage excessivement neutre. Je m'en fous. Respirons. Demain, je ferais changer la serrure. Mais je vois bien, à son air amusé, qu'il trouverait un nouveau moyen de se faire un double. On s'en fou. Je ne sais pas combien de fois je me suis répété cette phrase avant de m'installer finalement à mon bureau, lui tournant froidement le dos. Tu comptes bouder longtemps ? Un étrange rire passe par mes lèvres. Je ne suis pas un boudeur. Bouder n'est pas bon pour la peau. Bouder ne mène à rien. Je suis un jeune homme aussi fort que lui. Presque... ne puis-je m'empêcher de rajouter à ce flot de pensées relativement narcissiques. Et pourtant, je lui réponds calmement. Tu m'as bousillé la main... À peine ai-je le temps de me retourner vers lui qu'il se tient déjà au-dessus de mon épaule. Tu l'avais mérité. Et tu vas reprendre le piano dans une semaine. Tu ne peux pas m'en vouloir. Je soupire. Il a sûrement raison. Ou peut-être pas. Mais je m'en fous. Et tes 'problèmes' n'ont pas à t'inquiéter autant. Tes deux dernières pétasses sont amies. C'est rien. Même si tu as eu la brillante idée de leur déclarer ton amour dans la même journée. De toutes façons, tu ne les aimes pas. Alors passe à autre chose. Réconcilie-toi avec ton frère si ignoble. Et on pourra enfin reprendre notre marathon cinématographique. Nerveusement, je me met à rire, de plus en plus fort, l'obligeant à se décaler. Il n'a donc rien compris. Il y a donc plus insensible que moi. Voilà qui me remet du baume au cœur. Voilà qui va me permettre de retrouver ma bonne humeur. Je me lève donc, ravi et souriant, prêt à affronter ce beau week-end. Tournant ma clef dans la serrure, je me retourne pourtant. Je l'aime, Baja. Ce n'est pas un jeu. Ce sont des sentiments.❝ la fin de Chéri ❞ le début de la fin. ▷ où est mon gel exfoliant ? je tournais en rond dans l'appartement, entassant la moindre de mes affaires dans l'une des nombreuses valises que j'avais ouvert sur le lit. c'était surement la première fois que je faisais quelque chose d'aussi spontané. mais j'allais le regretter, rapidement. je le savais parfaitement. mais il fallait que j'ose. tiens, il est à moi ce livre... ? le livre dans les mains, je le tournais, le retourner. je ne savais même pas de quel livre il s'agissait, dans tous les cas, j'en trouverais un autre dans la moindre librairie. Chéri, qu'est-ce que tu fais avec mon livre de cuisine ? son livre de cuisine ? qu'est-ce que je pouvais être ridicule quand je m'y mettais. et pourquoi gardait-il son livre de cuisine dans le salon ? et pourquoi est-ce qu'il débarquait toujours sans prévenir ? ma gène laissait rapidement place à de la colère. de la colère pure. Je pars, François... j'avais laché ça rapidement, pour me forcer à y croire. lui tournant le dos, je me bornais à fermer le plus lentement possible la moindre de mes valises. il n'en aurait rien à faire. il aurait plus de place pour lui et toutes ses conquêtes, pour lui et tout son bordel. l'appartement se changerait rapidement en dépotoir, mais il s'y ferait. qu'est-ce qu'il m'énervait avec son calme inébranlable. je le sentais me regardant, il était surement installé dans mon fauteuil. mon fauteuil que j'avais pris tant de temps à choisir. tant pis... Et tu pars où, Chéri ? le ton de sa voix m'agaça. pourquoi est-ce qu'il était si imperméable ? Loin de toi, ce sera suffisant. je jetais les valises au sol, énervé par le rangement trop bâclé à mon goût. Mais, ne t'en fais pas, je te laisse ton livre de cuisine. Et je partais, sans un regard, loin. Aux Hamptons. Que je ne connaissais même pas. Sur un coup de tête que je ne comprenais pas moi-même. Mais j'en parlerais à mon psy, et tout irait bien...pour faire court (parce que ça commence déjà à faire un sacré pavé là ), disons que François est l'aîné, l'être parfait, le modèle ultime de Chéri. Chéri a donc pour lui un amour immense et une haine sans fin, une jalousie pure. Mais, en règle générale, ils sont en d'excellents termes. Ils partagent tout, font tout ensemble. François emmène Chéri dans la moindre de ses frasques, dans la moindre de ses soirées. On ne peut définitivement pas devenir ami ou fréquenter l'un sans l'autre. Mais même s'il est un grand frère idéal, il subsiste tout de même une part d'ombre dans leur relation parfaite. Notamment parce que son esprit malsain, pervers, le pousse à se jouer de Chéri, à tester ses limites. Sans oublier cette jalousie, entre eux, qui finit par les étouffer, les poussant peu à peu à ne se fréquenter qu'eux-mêmes, sans jamais réellement se lier avec quiconque d'extérieur. Et c'est surement l'une des raisons de la fuite de Chéri (ce que François a particulièrement mal vécu, perdant ainsi son emprise sur son jouet préféré, son petit frère). A noter également que le secret de Chéri concerne François
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Chéri Radiguet
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| Sujet: Re: (LIBRE) CLÉMENT CHABERNAUD Dim 1 Juil - 8:23 | |
| quelques détails :★ pour commencer, merci d'avoir lu tout ça (ou même d'avoir ouvert le sujet, ). mais si vous avez tout lu, vous avez le droit à un bisou, parce que c'est pas mal long et assez barbant pour ce qui est négociable : l'avatar l'est relativement, parce que je trouve que clément va divinement bien avec jeremy. l'âge ne l'est pas, parce que je tiens à ce qu'ils n'aient qu'un an de différence . pour le métier, c'est totalement à votre guise. ★ ★ je tiens particulièrement à ce personnage, parce que toute la personnalité de Chéri et tous ses secrets, se basent sur ce personnage. (je vous tiendrais au courant du secret par mp, puisqu'il risque de chambouler radicalement leur relation quant aux demandes, je ne suis pas particulièrement exigeante une bonne orthographe, être sympathique et prendre plaisir à jouer, ça m'ira parfaitement (ah, et aussi de ne pas laisser tomber le personnage, mais, ça me semble naturel ). ★ bref, voilà, je pense que j'ai tout dit. j'espère ne rien avoir oublié. s'il reste une zone floue ou une demande quelconque, n'hésitez pas je serais tout à vous (et soyez indulgents, je n'ai pas fais de scénar depuis des années ). |
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