STARRING KEEGAN ALLEN BY TUMBLR.

loan thomas bloomfield

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ÂGE : vingt et une année et quelques poussières. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Il est né à Los Angeles, rien de plus rien de moins un certain mois d'avril, le vingt-cinq plus précisément.. ★ ORIGINES :Ses parents sont cependant écossais. ★ NATIONALITÉ : américaine. ★ STATUT CIVIL : célibataire. ★ EMPLOIS : photographe à temps perdu, barman de temps à autres. Il est cependant " censé " étudier le droit, mais a posé ses fesses en cours une seule fois.. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Fonceur, charmeur, n'a pas la langue dans sa poche, semble avoir un égo surdimensionné, rebelle dans l'âme, fier, très mystérieux, aime bien taquiner , ambitieux, direct, franc. ★ GROUPE : Lust.

Ce qu'il faut savoir de Loan est plutôt simple, et complexe tout à la fois ◭ Ce n'est pas vraiment le genre de gendres que voudraient les mamans des filles des Hamptons ◭ Mystérieux, fort mystérieux, les gens ont pris la vilaine habitude de le craindre et ce, pour une raison qui lui échappe totalement. ◭ Il peut paraitre froid, mais il a un grand coeur. ◭ Il en est de même pour son égo, qui semble vraiment surdimensionné alors qu'il est en rien. Non, il ne se la pète pas. ◭ Sa franchise lui a causé bien du tord au fils des ans, d'où son passé quelque peu trouble ◭ Et d'ailleurs à ce sujet, il n'en a glissé mot à personne, de peur d'être jugé alors que tous ignorent la vérité ◭ On peut dire de Loan qu'il est porteur de lourds secrets, mais jamais il n'osera l'avouer à quiconque. ◭ Ses parents étant quelque peu riches, il s'évade souvent dans les Hamtons pour oublier le brouhahaha incessant de la ville! ◭ Beaucoup de filles aimeraient bien passer la nuit à ses côtés mais ce n'est tout simplement pas son genre. ◭ Étonnant n'est-ce pas? Et bien oui Loan est du genre réservé. Et n'aime pas trop se faire d'attaches. ◭ Il a toujours été rebelle, et n'a jamais vraiment aimé l'autorité, ne l 'a jamais vraiment respecter non plus, ce qui lui a valu plusieurs séjours en prison. ◭ Quand Loan vivait à Los Angeles, ses parents avaient du mal à resserré l'étau autour de lui, il était pire qu'un fauve en cage. ◭ Les quelques séjours passés dans les Hamtons l'ont curieusement aidé à s'assagir. ◭ Mais Loan n'en demeure pas moins méfiant, il n'ose pas s'attacher à quiconque, n'ose pas se faire des amis, juste au cas où. ◭ Malgré son passé obscur, Loan n'hésite pas un seul instant à être bienveillant envers ceux qui le méritent. Il a un coeur d'or somme toute, tapis derrière cet épais brouillard de mystère. ◭ Il aime écouter des heures durant du bon vieux rock des 80's ◭ Loan ne pourrait se passer de bière, même s'il est loin d'être alcoolique ◭ Il a une importante collection de fusils, car il aime bien chasser en saison ◭ Il aime manger de tout, découvrir de nouvelles saveurs, c'est un grand curieux, avide de nouveautés ◭ Loan sait comment se débrouiller dans la vie, il n'aurait aucun mal à se fondre dans le moule même dans les circonstances les plus arides qui soient. ◭ frites et burger composent essentiellement son mets préféré. ◭ Il adore exhiber ses muscles, il n'est ainsi donc point rare de le voir torse nu...◭ Loan est également écrivain dans l'âme, il aime rédiger de petits recueils, des poèmes, des mini-romans.... ça lui fait toujours un bien fou de coucher quelques mots sur des papiers de soie, quelque fois...

~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : Gorgeousmali, mon prénom est Amélie ★ ÂGE : 24 ans.. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : par le biais de bazzart. ★ AVIS/COMMENTAIRES : mais j'aimeeee ce forum =o les couleurs, le contexte breeeef TOUT <3 Ça me fait penser à Revenge je sais pas trop pourquoi ^^. ★ AUTRES : qui m'aimes me suives!!.

~ we were born and raised in a summer haze.

« Loan, prépare-toi, nous sommes attendus chez les Atkins mon chéri » me hurlait ma chère mère du rez-de-chaussé. Rien d'autres ne me venait à l'esprit que le goût de l'amertume à la seule idée de devoir assister à l'une de ses maudites soirées mondaines que je haïssais tant. À dix ans, j'avais d'autres chats à fouetter que de me rendre à cette fête d'une banalité sans précédent. « C'est bon, j'aaaarrive! » hurlais-je avec colère. J'avais plutôt envie, pour tout vous dire, d'aller rejoindre mes amis dans le parc commun du quartier et de faire quelques paniers. Mais mes parents n'y comprenaient rien. Avaient-ils donc oublier la douce période de leur enfance? J'en avais douté à cette époque, et j'en doute encore à ce jour... Mes parents avaient zappé cette partie de leurs souvenirs, semble-t-il...Un soupir, les épaules redressés, je descendis les escaliers qui menaient au hall d'entrée sans même daigner leur accorder ne serait-ce qu'un simple regard. Ma colère pouvait se ressentir dans toute la pièce. Ce soir-là, j'avais été une véritable peste, à mon plus amusement...et au grand désarroi de mes chers parents. C'était toujours ainsi. C'était comme ça, c'était mon mode de fonctionnement dans cette famille de malheur. Fils unique, j'avais été trop le centre d'attention dans cette famille, si bien qu'on m'avait déjà préparé mon avenir comme si mes parents étaient à eux seuls, maitres de ma destinée. C'était pathétique, et ma rébellion ne faisait que s'intensifier au fil du temps.Je n'ai malheureusement pas grand chose à dire d'autres des années loufoques de mon adolescence. Ne serait-ce que la continuité de mon comportement face à mes géniteurs. Je n'en faisais toujours qu'à ma tête, comme si en réalité le monde m'appartenait. C'était peut-être pour cette raison que je m'étais mis un peu trop souvent dans la merde jusqu'au cou. Peut-être parce qu'au fond, je n'avais pas su écouter, et obéir. On ne peut changer le passé, il demeurera toujours intact, et quoique l'on fasse, il nous rattrapera toujours. Malheureusement, j'en avais pris conscience un peu trop tard. L'homme que je suis devenu n'aurait pas agit de telle ou telle façon si j'avais su que cela me nuirait un jour ou l'autre. Mais ne dit-on toujours point cela? Ah... si j'avais su!

~ bound by the surprise of our glory days.

La vie suivait son cours, et moi je poursuivais mon destin. Enfin de ce que je croyais être mon destin. Si enfiler une partie de jambes en l'air, une après l'autre figurait dans ma check list alors j'en étais ressorti grand vainqueur. Mais toujours, mes parents revenaient au galop. « Tu vas étudier le droit fiston! » me balançait mon père d'un ton autoritaire, tâchant d'être grave, très sérieux alors que je n'avais qu' une envie : me laisser aller et éclater de rire. Mais je m'étais tenu droit, quelque peu tendu, comme j'en avais tant l'habitude « Tu devrais être fier d'entrer dans une faculté d'Ivy League mon chéri! » Cette fois, je ne pus me retenir de lever les yeux vers le ciel, implorant ce dernier de venir me chercher, que ce cauchemar finisse. N'avaient-ils donc pas compris que je n'avais pas envie d'être ce que eux voulaient que je devienne?N'avaient-ils point compris que plus il resserrait l'étau autour de moi, plus je me sentais comme un fauve en cage, prêt à bondir sur le premier qui arrivait, n'avaient-ils donc point pris conscience que je n'avais aucune envie d'aller à ces fichus cours de droit, que j'avais d'autres projets, d'autres rêves que ceux qu'ils chérissaient tant? Malgré la colère qui faisait bouillir mon sang, je tâchai de garder mon calme. Cette année-là, je n'avais insisté à un seul de mes cours : le tout premier. Puis, peu de temps après, j'avais plié bagages pour me rendre dans les Hampton. Ainsi débuta les plus belles années de ma vie. Les plus festives, magnifiques et mémorables! Je laissais derrière moi des souvenirs, des gens, ma vie, mon ancienne vie. Parce que c'était à ce moment que je décidai de dire adieux à L.A, à mes parents, et à mes amis... Mais savez-vous ce qui avait anéanti mon moral? C'était de la voir souffrir. Je savais que jamais je ne me le pardonnerais. Mais il le fallait, pour son bien, pour le bien de tous. « LOAN! SALAUD! ENFOIRÉ! FILS DE PUTE! MERDE! t'as pas le droit de me faire ça... » je pris une profonde inspiration, puis la laissai se dissiper en soupirs. Je ne voulais pas partir et la laisser comme ça, mais je n'avais pas le choix. Je lui tournais le dos. « J'en ai trop fait Sisi. Trop. Oublie moi, oublie ce qu'on était. Tu te porteras mieux d'ici quelques semaines, crois-moi. » déclarais-je d'un ton robotique, tel un automate. J'essayais tellement fort de ne pas laisser entrevoir ma peine, ma souffrance, mes tripes qu'une goutte de sueur perla mon front. « T'es rien qu'un putain de fils de riche, un lâche sans scrupules qui oublie que d'autres existent. JE T'AIME BORDEL! TU M'ENTENDS? JE T'AIME! TU NE PEUX PAS ME LAISSER COMME ÇA! » hurla-t-elle entre deux sanglots. Puis sa voix se radoucit, et je me sentis déglutir sous cette pression invivable. « Emmène-moi avec toi.. Où que tu ailles, je veux être avec toi, partons ensemble, bébé » Je secouai la tête, tâchant de refouler les larmes qui humectaient mes yeux tel un calvaire sans fin. Elles ruisselaient nonchalamment, coulant le long de mes joues cramoisie, empourprées par le flot d'émotions qui m'avait consumé à cet instant. Mais je ne lui avait pas répondu ce jour-là. Non, à l'instar de m'être comporté comme un véritable gentlemen, j'avais réagi comme un con, en lui tournant le dos, pris d'orgueil, de honte. Je ne voulais pas qu'elle me voit comme ça! Et puis la pluie s'était mis de la partie, la météo allait de paire avec l'atmosphère qui régnait dans mon ancien coin de pays. Mais ma vie était terminé ici. Je l'avais décidé. Et qu'importe les conséquences, il le fallait, voilà tout.

Peu de temps après mon arrivée dans les hampton, j'ai fait la rencontre de Lust. Lust Grey. Une très jolie fille, quelque peu mystérieuse certes, mais ô combien irrésistible. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais elle me rappelait Siloë quelques fois dans ses manières inhabituelles. Curieux comment a débuté notre toute première rencontre. Il y avait elle, moi.. et une pelle! Oui oui une pelle. Je ne saurai jamais d'ailleurs comment remercier le vendeur qui me l'a fait acheté avant d'arriver ici. Car c'est un peu grâce à lui si j'ai poussé le destin à nous faire rencontrer de nouveau.Entre mes allées et venues dans le coin, je trouvais toujours le temps de m'acharner sur son cas, afin de décrocher enfin un rencart, ou quelque chose qui s'y rapportait... Un bon jour, alors que j'avais perdu tout espoir d'y arriver enfin, Lust se décida enfin à venir à une soirée avec moi, l'homme à la pelle. J'étais tellement content, ravi sans vraiment savoir pourquoi j'étais pris d'un tel enthousiaste. Ce n'était somme toute point dans mes habitudes. Mais soit, Lust me faisait cet effet. Un peu comme si un volcan entrait en éruption à l'intérieur de ma sombre personne, c'était flippant et enivrant tout à la fois, je ne saurais vous dire si j'aimais, ou si je détestais. Cette soirée-là, j'étais comme dans mes habitudes, entouré des plus belles filles de la région. Mais mon coeur battait la chamade à la seule idée de la revoir, dans ces circonstances, enfin... Il passa une heure, deux heures, trois heures... Le temps défilait doucement, lentement, il s'éternisait , me faisant suffoquer. Elle m'avait posé un lapin, et cette fatalité m'assaillit de toute part. « Viens chez moi ce soir Loan » me susurra la voix douce d'une belle brune avec qui j'avais déjà passé, il n'y a pas si longtemps, la nuit dans ses draps de soie. « Pas ce soir. » me contentais-je donc de dire afin de la repousser. Mes pensées n'étaient que pour Grey. Les raisons pour lesquelles elle m'évitait m'échappait. Ça n'avait de sens que pour elle. Qu'avais-je donc fait pour me taper une telle honte? Qu'avais-je donc fait pour mériter cela? Me rendant à l'évidence que plus rien ne m'attachait ici, je suis parti, comme un oiseau migrateur voir s'il n'y avait pas un monde meilleur autre part.Peut-être qu'en m'évadant ailleurs je réussirais à comprendre le mystère d'une vie entière. Il fallait voir....

~ Old friend, why are you so shy?

Je respire à fond l'air salin qui règne ici dans les hamptons. Jamais je croyais pouvoir me sentir chez moi à quelque part. Mais c'était un peu le cas ici. Je me sentais bien, libre comme l'air, loin de tout. Et puis j'ai revu Lust, et on a parlé des heures et des heures. Ça m'a fait un bien fou. Dix mois déjà que je suis parti d'ici. Dix mois dont je n'ose à peine parler. Dix mois, est-ce suffisant pour changer un homme du tout au tout? Non. Bien sûr que non. Mais j'ai changé, involontairement. J'ai mûri. Oh bien sûr je continue de temps à autre à faire la fête, je couche toujours avec les jolies filles, mais je cherche moins mon identité. Je sais désormais qui je suis, et ce que je veux devenir. C'est peut-être pour cette raison que Lust a accepté de me parler à nouveau, peut-être parce que je dégageais quelque chose de plus cool, de plus sérieux à ses yeux? Enfin bref, un nouveau départ est entamé. Je souhaite seulement ne pas tout gâcher. Car c'est ce que j'ai toujours fait, après tout [...] « Alors dis moi tout, ça s'est bien passé quand j'étais pas là? » demandais-je d'une voix plus douce qu'une berceuse pour enfant. Lust me sourit, visiblement ravie que je m'informe sur son compte. Elle m'avait regardé un bref instant et pourtant, pourtant j'avais eu l'impression qu'elle m'électrifiait de par ce dernier. C'était... agréable et désagréable tout à la fois! « Oui et non. Disons simplement qu'il y avait moins de fêtes quand t'étais pas dans les parages et les gens sont devenus très très malheureux » déclarait-elle en tâchant de garder son sérieux.Quelques secondes et des poussières plus tard, je l'entendis pouffer de rire et elle se ravisa « Désolée, je blaguais. Rien de spécial ou d'exceptionnel Loan. Mais je suis vraiment contente de te revoir, tu sembles.. changé » je lui souris, quelque peu intimidé par la façon dont elle avait dit " changé " comme si cela lui plaisait. Je ne saurais dire davantage, je n'avais pas le don de deviner la pensée des autres. « Et bien toi tu sembles être restée au même point, ne t'en fais pas c'est un compliment » précisais-je en posant à nouveau mes prunelles marron dans les siennes. J'avais l'impression de perdre la notion du temps quand j'étais avec elle. Et effectivement, ce soir-là, nous avions parlé toute la nuit. Nous avions rattrapé tout ce temps perdu en une nuit symbolique. Cette fille m'intéressait au point que j'étais prêt à faire des concessions pour ses beaux yeux. Mais il était tôt, beaucoup trop tôt encore pour que le voile des sentiments ne se lèvent sur cette acte.

Livie Sthender a écrit:

Bienvenue Gorgeous