STARRING BEAU MIRCHOFF BY TUMBLR.

Speight, Howard (Howie)

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ÂGE : vingt-deux ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : dix-huit avril, hamptons. ★ ORIGINE & NATIONALITÉ : américaine. ★ STATUT CIVIL : célibataire, sans sexualité fixe. ★ EMPLOIS : étudiant en philosophie, fainéant de première. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : enfantin, paresseux, blagueur, indifférent, lourd, rêveur, tactile, ouvert, charismatique, exaspérant, désinvolte, patient, loyal, spontané, introverti lorsqu'il s'agit de sentiment, loquace, insolent, malin... ★ GROUPE : sloth.

Il passe sa vie à soupirer. Pour un tout, pour un rien. Pour un oui, pour un non. ~ Fainéant de première, il est loin d’être très dynamique. Pourtant, c’est un fervent passionné de sport… depuis son canapé. Que ce soit le football, le tennis, la boxe, le baseball, tout y passe. ~ Il n’a jamais étudié de sa vie et a toujours réussi dans toutes les matières qu’il présentait. Certes, il n’excellait dans aucune, frôlait souvent l’échec, mais il parvenait toujours à s’en tirer avec les honneurs. ~ Il est, en apparence, sûr de lui. Pratiquement hautain par moment, il donne l’impression de pouvoir tout avoir. Et ce n’est pas faux. ~ Il cache cependant des rêves inavouées et envies plus profondes. Il n’inspire pas à paresser pour le reste de sa vie. Mais trouver sa voie lui semble bien compliqué. ~ Il a beaucoup d’humour et se croit le type le plus hilarant que la terre est portée. La vérité c’est qu’il devient vite lourd et qu’on lui demande souvent de la fermer. ~ S’il y a quelque chose qu’il estime plus que tout, c’est bien l’amitié. D’une loyauté à toute épreuve, il ne se noue jamais à la légère. ~ Lorsqu’il était enfant, c’était un passionné de lecture et Tom Sawyer était son héros favoris. ~ Il est très (voire carrément trop) tactile. Toutes ses émotions passent par des gestes dont il n’a pas toujours conscience. ~ Malgré tout ce qu’il peut raconter, il n’est pas un pro des relations. Il n’a eu qu’une seule petite copine et elle l’a largué au bout de deux semaines. À vrai dire, il se sent un peu boiteux à ce sujet… ~ Il a choisi de faire des études en philosophie car c’était le seul domaine qui lui permettait de ne pas en foutre une, de dire n’importe quoi et de s’en sortir quand même. ~ Il a toujours eu de très bonne relation avec sa famille. Sa mère est sa meilleure amie, son père un pote compote et son frangin un passe-temps comme un autre. Cependant, depuis le divorce de ses parents, il ne parvient plus à regarder son père de la même façon. ~ Il chante sous sa douche. Et même si personne ne le sait et qu’il n’en n’a pas conscience, il a une superbe voix et parvient sans difficulté à poussé des notes compliquées. ~ Il passe le plus clair de son temps torse nu, offrant ainsi la vue de ses abdominaux remarquablement tracés. Personne ne sait vraiment comment il les a obtenu, lui qui n’en fout pas une. ~ Il est très pudique lorsqu’il faut parler de sentiment. Il galère énormément lorsqu’il faut mettre des mots sur ce qu’il ressent et préfère donc taire ce genre de chose. ~ Son téléphone portable est toute sa vie. Il s’agit bien entendu d’un gadget hautement équipé qui, parfois, lui joue de mauvais tour. ~ Tête en l’air, il a la mémoire qui défaille. Il peut dire une chose et ne pas s’en souvenir le lendemain, il faut toujours lui rappeler lorsqu’il a des rendez-vous ou chose de ce genre. ~ Enfantin, il boude souvent pour un rien. Il aime bien afficher une mine renfrogné et marmonner dans son coin jusqu’à ce qu’on vienne le chercher.


~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : Hareton, Sabrina. ★ ÂGE : vingt ans. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : dans un mp qui parlait de Justin Bieber. ★ AVIS/COMMENTAIRES : c'est joli tout plein. ★ AUTRES : bon ben... voilà !

Passant une main dans sa chevelure hirsute, Howie se dirige vers le réfrigérateur de sa démarche nonchalante et flageolante. Tout dans son attitude transpire l’ennui et l’indifférence, le désintérêt profond pour tout ce qui se rapporte à la vie et aux gens qui la composent. Le matin lorsqu’il se lève, il ne se pose pas les grandes questions tragiques de l’univers. Savoir où est sa place et vers quelles conneries il va ne l’intéresse pas. Il est comme tous les jeunes de son âge. Il rêve bien sûr de grande aventure, d’échappées nocturnes, de moments fantastiques… Mais ça s’arrête là. Il n’a ni grand projet, ni objectifs. Il laisse couler le temps sur la carapace de son indifférence. Il pense que quand il faudra se réveiller, il le fera et qu’en attendant, il n’a qu’à compter les secondes qui passent et s’écoulent lentement. Il est comme tous les gosses de riches : il a une voiture plutôt canon, de l’argents de poche à gogo, des permissions de plus de minuit et il sait se procurer de la drogue sans chercher après. La belle vie, en somme. Pourquoi se fatiguer ? C’est tout juste cette question qui s’impose à lui alors qu’il s’empare de la bouteille de la bouteille de jus d’orange et ingurgite le liquide à même le goulot. S’il a des manières ? Pas souvent. « Howard ! Combien de fois vais-je te répéter de prendre un verre ? » La mère d’Howie est, à ses yeux, une sorte de déesse envoyée sur Terre. Elle est douce, gentille, pleine de bonnes intentions. Mais aussi une râleuse de première et ça, il ne l’oublie jamais. Mimant grossièrement ses mimiques, le jeune homme ouvre la bouche et sort d’une petite voix trafiquée : « Howaaaaard, fais pas ci, fais pas çaaaa. » Il laisse échapper un rire amusé avant de venir déposer sur sa joue un tendre baiser. Il fait toujours ça, pour l’ennuyer. Mais dans le fond, elle sait très bien qu’il l’adore et qu’il irait chercher la lune si elle lui demandait. Elle le repousse gentiment, avec ce sourire mignon qu’elle a toujours accroché aux lèvres. Elle a deux petites fossettes sur le coin droit de sa bouche et il se rappelle que, lorsqu’il était enfant, il pouvait passer des heures à les caresser du regard. « Au fait, c’est qui la petite blonde avec Gave ? » Howie referme la porte du congélateur et s’appuie sur le plan de travail de la cuisine pour observer son frère en pleine leçon. Elle est plutôt mignonne, celle qui donne les cours, s’il avait su… « Prof particulier, en quelque sorte. Faut bien que je paie quelqu’un puisque tu n’es pas fichu de le faire. J’ai pondu deux idiots, que le seigneur me pardonne ! » Elle dit ça avec une telle simplicité que, pendant un instant, Howard s’en sent presque offusqué. Il affiche sa mine renfrognée, celle qui dit : je ne suis pas d’accord avec ça, trouve d’autres arguments. Mécaniquement, il croise ses bras sur son torse et fronce les sourcils, ça se lit dans ses yeux qu’il cherche quelque chose à dire mais que rien ne vient. Sa mère le regarde et ne peut retenir un franc éclat de rire. Elle connait son fils comme sa poche et elle sait qu’il s’apprête à dire une énormité pour faire diversion. « Euh… Sinon, tu savais que Louis XIV, le roi de France là, il faisait caca devant tout le monde ? Ouais, je sais, dégoûtant hein. » Et bien sûr, il n’y a pas manqué. Mrs Speight toise son fils avec une certaine incompréhension, incapable de savoir si elle doit le féliciter de savoir une telle chose ou simplement de laisser couler sans rien dire. « Et j’imagine que tu as appris ça en cours ? » qu’elle finit par demander, le toisant avec une réelle curiosité. Howie se laisse aller à rire alors qu’il tapote gentiment l’épaule de son interlocutrice. « ‘Man, t’es trop mignonne. » En fait, en jouant avec Wikipedia et son option ‘article au hasard’ il était tombé sur cette information cruciale et depuis, cela a changé sa vie…

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« T’étais passé où, Speight ?! » la question vole carrément à des années lumières au-dessus de sa tête alors qu’il vient s’affaler sur le sofa, à côté de l’un de ses amis, posant sa tête sans douceur sur son épaule. Il se mâchouille la lèvre inférieure avec indifférence alors qu’il pianote avec dextérité sur son téléphone portable. Un fin sourire caresse ses lèvres alors qu’il appuie sur la touche 'envoyer’ et qu’il daigne enfin poser son regard sur Rich qui le dévisage avec agacement. Dans un coin de sa tête, il se dit que ce type est agaçant et qu’il ne fera jamais rien de sa vie. Il se demande pourquoi il traine encore avec lui alors qu’il pourrait tout simplement parler économie avec des gens qui en valent davantage la peine. Mais dernièrement, c’est plus facile de tout pardonner à Howie. On s’imagine qu’en grand gamin qu’il est encore le divorce de ses parents le perturbe et qu’il est incapable de sortir la tête de l’eau. Ils pensent que ses manières, pourtant pas différentes de d’habitude, dissimule un mal être évident. Et peut-être qu’il y a un peu de ça, c’est vrai. « Désolé mec, tu disais ? » Le jeune héritier soupir, agacé. Il connait Howie depuis toujours et pourtant, il n’est pas encore habitué à ses arrivées théâtrales et tardives. En vingt ans, pas une fois il n’est arrivé à l’heure fixé. Il a la mémoire défaillante, il pense et puis, il oublie. C’est plus fort que lui, il essaye pourtant, mais sans grand succès. Rich se mord la langue pour ne pas être trop virulent dans ses propos et parvient finalement à sortir un : « On avait dit vingt heures, tu fais chier à la fin. » L’apprenti philosophe a le sourcil qui se hausse, incapable de contenir son amusement. Richard est l’exemple type du mec frustré qui a toujours ce qu’il veut et qui, à la moindre contrariété, perd tous ses moyens. Exactement le genre de type qu’Howie ne supporte pas mais qu’il garde parmi ses contacts. Parce qu’il n’est pas du genre à laisser tomber, parce que pour lui, amitié rime avec toujours. Même si ça n’a pas toujours de sens de s’esquinter dans ce genre de relation et qu’il vaudrait mieux rompre tout contact. « Et alors ? On a la vie devant nous, détends-toi. » qu’il lâche en riant, donnant un coup de coude à celui à ses côtés. L’autre se met à rire également et Howi est fier de lui. Jusqu’à ce que la mélodie défectueuse de son portable ne se mette à retentir dans la pièce. Son sourire s’éteint dès lors que le mot ‘papa’ s’affiche sur l’écran lumineux. Il déglutit, mal à l’aise et appuie sur la touche rouge pour renvoyer l’appel. Il n’a rien à lui dire, pas maintenant. Alors, comme à chaque fois, il détourne l’attention comme il sait si bien le faire. « Bon, elles sont où les filles ? Ta sœur ? » dit-il à l’attention de Rich qui l’envoie un coussin en pleine tête. C’est le genre de blague qui avec le temps n’a pas changé et que le pauvre ne parvient toujours pas à saisir. « Touche pas à ma sœur, Speight. Et je suis sérieux. » crache alors l’héritier, bien trop serrer dans son costume trop cher. « T’inquiète mon pote, si je dois vendre mon corps à quelqu’un de votre famille, tu seras le premier. T’es si chauuuuud, rawr. » l’émousse légèrement Howie en se remettant sur ses deux jambes et en venant lui lécher la joue... La vie devant lui.

Howie Speight a écrit:

Fern, merci beaucoup. J'aime beaucoup ton pseudo également et je suis ravie que le titre te plaise ! (a) Ah, et j'suis amoureuse du choix de chanson pour la signature. Saez.

merci beaucoup