STARRING MATT BARR BY fuckyeahmattbarr@TUMBLR.

Finnick, Dunham

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ÂGE : 29 ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix, les Hamptons. ★ ORIGINES : américaine. ★ NATIONALITÉ : américaine. ★ STATUT CIVIL : au choix. ★ EMPLOI : au choix. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : exubérant ; persévérant ; ambitieux ; drôle ; joyeux ; lunatique ; radin ; arrogant ; sournois ; attachant ; enjoué ; équilibré ; fidèle ; galant ; courageux. ★ GROUPE : envy ou au choix.

→ il ne supporte pas la solitude. → la mort de son cochon d'inde quand il avait huit ans l'a traumatisé. → c'est un fils de riche et aime pouvoir s'acheter ce dont il a envie sans travailler. → il déteste être seul. → il ne mange que les carambars aux caramel. → il adorerait se marier et passer sa lune de miel en Grèce.

~ we lie beneath the stars at night.
Fern, soit pas idiote et ouvre. Planté devant la porte de son appartement, Finnick, frappait désespérément cette fichue planche de bois qui ne cédait pas à ses coups. Le coude planté dans le mur il continuait, avec plus ou moins d'envie, de cogner. Il était là depuis quoi, une dizaine de minutes et à peine avait-elle vu son visage que Fern avait aussitôt refermer la porte. Elle s'était jurée de ne plus lui parler et quand Fern jure quelque chose, elle tient parole. Assises en tailleur sur son canapé caressant Bubulle son chat, l’intéressée restait de marbre face aux supplications de son ancien meilleur ami. Qu’importe qu’il couche sur le pas de la porte, la jeune femme ne pouvait se résoudre à le laisser entrer et dévaster à nouveau sa vie. Que croyait-il ? qu’elle allait bêtement lui offrir l’hospitalité et tout ce dont il avait besoin simplement parce qu’il avait fait l’effort de chercher dans l’annuaire son adresse ? Il était bien loin du compte. Depuis l’incident du bal de promo, Fern avait prêté serment que jamais Ô grand jamais elle ne permettrait à cet enflure de Finnick de revenir dans sa vie. Vas-t-en Finnick ! Je ne veux pas te voir. Le pot de glace entre les cuisses, elle avait troqué la douceur de son chat contre le réconfort d’un pot de hagen daaz au caramel. Cuillère à soupe après cuillère à soupe, elle espérait vainement qu’il décide de s’en aller. Mais elle savait qu’il était aussi têtue qu’elle. Les minutes défilaient et Finnick frappait toujours. Désormais agacée par le bruit qu’il faisait, elle se leva furieuse de son nid et ouvra – non, plutôt projeta – la porte qui rencontra le mur avec une telle violence que ça en fit trembler les murs. Ecoute, arrête de jouer à la gamine. On est plus des gosses, c’est du passé tout ça. Je comprends pas pourquoi tu es encore furieuse. Tu pourrais très bien en rigoler. Etait-il sérieux ou avait-il simplement envie de se prendre un chevalet en pleine tête ? A la fois exaspérée et perdue, Fern avait l’impression que le ciel lui était tombé sur la tête et que les rôles avaient été inversés. Tu te fous de mal gueule là ? Si Fern devient grossière, attention à vous. Lorsque la jeune femme emploi un vocabulaire chartier, c’est qu’elle est très remontée et es capable de n’importe quoi. Tu voudrais que j’oublie ? que je passe l’éponge sur ce que vous m’avez fait ? Tu voudrais que je tire une croix sur l’humiliation que j’ai subi ? Tu penses vraiment qu’on peut oublier ça ? A moitié dans le couloir, elle s’était mise à hurler et sentait les larmes lui monter aux joues. Rouge de rage et, il faut l’avouer, un peu vexée également, elle faisait reculer cet homme qu’elle considérait comme étant un nouvel adversaire. Pas si fort, tu vas réveiller tout l’immeuble. Il avait dépassé les limites. Tant pis si la concierge pointait son nez et venait l’engueulait, il fallait que ça sorte. Un jour ou l’autre, elle aurait fini par exploser. Ce jour était finalement arrivé. Ta gueule ! Pauvre con va ! Vous m’avez humilier comme jamais ! tu étais censé être mon ami, mon meilleur ami et tu les as laissé faire. Tu ne les as pas empêcher de m’asperger de lait cailler devant tout le lycée ! Tu ne les as pas empêcher de foutre ma vie en l’air et de me détruire ! Tu me répugnes, tu n’es qu’un être abominable sans cœur ni dignité. Je ne comprends même pas pourquoi tu es revenu. Une fois sa tirade terminée, Fern se sentit soudainement bien plus légère, comme si elle venait d’être soulagée d’un poids qui lui avait pesé sur les épaules pendant toutes ces années. Planté là comme un parfait idiot les bras croisés sur sa poitrine. Finnick avait écouté attentivement son amie. Terminé ? c’est pas que ça m’a ennuyé, mais j’ai pensé que tu aurais été contente d’apprendre que la vie de Marc, le mec qui t’as gâché ton bal de promo, avis complètement loupé sa vie. Il n’a ni femme, ni enfant, pas de boulot et vit dans la rue. C’est peut-être pas sympa de se moquer des autres, mais quand je l’ai apprit, je me suis dit qu’il fallait que tu le saches aussi. Au fond, avait-il vraiment changé ? Finnick était-il encore ce mouton qui n’aimait pas la solitude et faisait en sorte d’être toujours accompagné. Bonne ou mauvaise, la compagnie lui était quelque chose de précieux dont il ne pouvait se détacher. Curieuse, elle voulait en savoir plus. Elle voulait le laisser entrer pour qu’il lui raconte tout. Alors, pour une fois, elle mit sa fierté de côté et le laissa pénétrer dans son appartement.