STARRING RJ King BY strangeforeignbeasty.

Anatole, Nom au choix

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ÂGE : 24 piges de détestation cordiale de sa personne, d'autrui. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Paris, date au choix ★ ORIGINES :Françaises et au choix ★ NATIONALITÉ : Française ★ STATUT CIVIL : Se prétend célibataire, libre, l'effroyable sans attaches qui crache sa hargne sur quiconque le contredit. Non, il n'aime pas cette salope, non, il la hait. Vous dites ? Ouai, c'est plus facile. Satut : Salop. ★ EMPLOI : Petit fils à papa, increvable menteur. Enjôleur, il projette des étoiles dans vos yeux pour mieux vous les arracher. Son quotidien, le baratin. Ce connard serait capable de vendre une radio à un sourd. Commercial, donc. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Blagueur - Séducteur - Imbus - Capricieux - C'est une Diva version masculine - Méticuleux - Acerbe - Irascible - Colérique - Possessif - Froid - Sarcastique - Grivois - Bâtard sans coeur ★ GROUPE : Pride

Son histoire est en globalité laissée à ton bon vouloir, respectes tout de même ces quelques points :

~ Ses parents ont divorcé lorsqu'il était petit [age inférieur à 10 ans.] Ça a été un évènement abominable dans son petit monde d’éléphants roses, seulement, ça n'excuse pas son caractère exécrable. Comme si ça ne suffisait pas, il se justifie souvent en sortant la carte " Traumatisme". Connard.
~ Il a ses petites habitudes de gosse de riche, évidemment. Il ne porte que des calbutes CK, il ne porte que des costume Armani. Il ne jure que par ces espèces de chaussures hideuses à la mode dont le nom m'échappe. Il est l'arrogance incarnée et le profond désarroi qui le tiraille passe inaperçu, éclipsé par autant de self estime, c'est abject. Il le sait mais, ne fait rien pour changer les choses. Il se plait, le vilain.
~ Ne supporte pas que l'on touche à ses cheveux, tu as bien lu. Il serait capable de piquer une véritable crise à quiconque oserait y mettre les doigts. Il se coiffe seul, il se coiffe bien. Il n'apprécie pas les épis et combat avidement contre les mèches rebelles. Sa tignasse est sacrée. Point.
~ Lorsqu'il est intimidé, il dessine le contour de ses lèvres. C'est un tic qu'il n'a même pas conscience d'avoir. Malheureux, n'est-ce pas ?
~ Son orgueil est poussé au vice, il préférerait se couper une main que reconnaître qu'il a tort avec Mélisandre, c'est pareil. Vivre dans la souffrance psychique plutôt que subir la voracité de ce qu'il ressent. Putain, tapette.
~ Il est venu aux Etats-Unis en prétextant avoir des négociations à effectuer. Bénéfice du doute, seulement, qu'est-ce qui explique sa présence dans les Hamptons alors ? Le hasard n'existe pas dans ce cas précis.


~ J'aimerais qu'il arrête de s'essuyer les pieds sur mes rêves.

« J'aimerai qu'il arrête de prendre mon coeur pour un tapis d'entrée. Bon pour torcher ses semelles à 700 euros, pas assez pour être respecté » je souffle, seule. Poétesse d'un autre genre, je me vois embrocher son palpitant, en faire un barbeuc. Il le mériterait mais, pas couillue, je n'arriverais probablement jamais à le faire. S'il crève, je crève aussi, sur le coup. J'ai pas l'courage, non et, il en joue, l'affreux. Son regard coule sur moi, caramel volatil, souffle érotique, je détourne le visage. Paumée, quelque part, destination inconnue. Indécise, j'ai envie de lui en foutre une. Cracher sur son joli visage, lui filer la torgnole de sa vie. La pelle, aussi. Malpropre. « Tiens, Pacôme-les-autres » étouffe-toi, abrutis. Je le snobe, je m'éloigne parce que, si je reste trop longtemps à ses côtés, je vais perdre le contrôle et, qui sait ce qui pourrait arriver. Rubrique faits divers : Meurtre sans préméditation, impulsion du moment. Il emboîte mon pas, me sourit, pourriture : « Quel heureux hasard » mes yeux se plantent dans les siens, il passe un doigt sur ses lèvres. Nerveux ? « Le hasard n'existe pas, Anatole. On le créer , de toute évidence, c'est ce que tu fais », il passe une main dans sa divine chevelure et contre attaque, l'habitude, je présume : « Tu te penses encore centre du monde, Mélisandre ? Et ça se clame humble » dans mes dents. Je ne sais plus quoi dire. Je perds mes mots, je me perds, tout simplement, tout entièrement. Rebutée et captivée, enflure. « Tu as raison, ne mélangeons pas les torchons avec les serviettes alors » véxée, je creuse la distance, le fossé existait déjà, n'est-ce pas ? Je ne suis pas digne de lui, lui, pas digne de moi. Message reçu, il gagne, je perds. Merveilleux anachronisme. On n'appartient pas à la même époque, pas aux mêmes pensées, ni même idéaux pourtant, ce que je voudrais...« Ne le prend pas comme ça » il lâche telle une supplique. Et je le prends comment, sinon ? « On est peut être au même endroit mais, on n'est pas obligés de se parler », c'est clair ? - Oui, limpide.